Tout est là : l'agressivité de la guitare, la majesté des mélodies, la féerie des orchestrations, la puissance et l'émotion de la voix.
Il s'en dégage un sentiment de merveilles et de dangers, celui d'Alice perdue au pays des merveilles, celui de Sarah dans le Labyrinthe, celui d'Ofélia dans les griffes du Faune et du capitaine Vidal ; ou celui de la fin de l'enfance, tout simplement.
Ce qui constitue un bon prologue au cycle des chansons de Noël, à partir de demain (publiées le soir pour faire plus Noël ;) !
J'aime vraiment bien cette chanson en fait :)
RépondreSupprimerAaah ! Dans mes bras, Fabrice !
Supprimer