jeudi 1 décembre 2016

250 RAISONS D'AIMER LE CINÉMA (1-10)

1. Les lettres volantes d’UGC, les projecteurs de 20th Century Fox, les rosaces de Gaumont, la Terre d’Universal, le lion de la MGM, les étoiles de la Paramount.








2. Rocky sur les marches du Museum of Art de Philadelphie.
Un pur bonheur de cinéma, intact quarante ans après. Ici, dans Rocky II, avec la foule derrière lui. 


3. Les super-héros existent.
D'abord, ce fut Superman, de Richard Donner, en 1978. Le premier qui faisait vrai. Et il y faisait tout ce qu'on attendait : se changer la cabine téléphonique, ouvrir la chemise avec le vrai costume en dessous (et la cape bien rangée sous la chemise ;), s'envoler, rattraper Loïs... Et en bonus, cette formidable trouvaille du retour dans le temps en forçant la Terre à tourner à l'envers.


Puis vinrent Sam Raimi et Tobey McGuire pour un insurpassable Spiderman (2002-2006), dont l'apogée des trois films reste le combat Doc Oc/Spidey dans le métro aérien new-yorkais. La mise en scène, le rythme, le montage, les effets spéciaux, tout est parfait, et c'est sans parler du final, quasi christique.


Enfin vint l'ère des franchises multiples (2008-forever), dont on retiendra surtout les fabuleux Captain America de Anthony & Joe Russo, et les formidables Avengers, de Joss Whedon.




4. Steve McQueen ne s'évadera jamais.
Et pourtant, il se donne du mal ! Je dirais même du fil à retordre ;)
La grande évasion, de John Sturges (1963)


5. "It's not your fault".
Une scène assez casse-gueule, qui aurait pu tourner assez vite au ridicule, mais finalement bouleversante, grâce à Matt Damon et Robin Williams, l'un et l'autre d'une justesse absolument sidérante.
Will Hunting, de Gus Van Sant (1997)


6. La tombe sans nom près de celle d'Arch Stanton.
La course de Tuco dans le cimetière de Sad Hill + le "triello" sur la place comme dans une arène = le plus beau final de western du monde. Leone lui-même ne l'a pas surpassé dans Il était une fois dans l'Ouest, son film suivant.
Le bon, la brute et le truand, de Sergio Leone (1966)



7. Magnifique, professionnel, enfant gâté, en Chine ou à Rio.
Jean-Paul Belmondo, bien sûr, de 1964 à 1987 !






8. Compter les baffes dans Mon nom est Personne, les morts dans Commando, les “baby” dans Austin Powers, les "fuck" dans Les Affranchis.

9. La gare, le landau, les escaliers, le comptable, le ralenti et Andy Garcia.
Les incorruptibles, de Brian De Palma (1987)


10. Le champ de maïs, la route, l’avion et Cary Grant.
La mort aux trousses, d'Alfred Hitchcock (1959)









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