mercredi 21 décembre 2016

250 RAISONS D'AIMER LE CINÉMA (201-210)

201. La poursuite à la fin de Carlito’s Way.





Et un dossier AlloCiné, très complet (et très énervant à afficher, pubs dans tous les coins oblige, comme d'habitude sur ce site de merde), sur le plan-séquence, avec beaucoup d'extraits et d'analyses : ICI

202. La scène d’ouverture de Indiana Jones et le temple maudit.
Et tout le reste de tous les Indiana Jones, bien sûr ! Mais cette séquence (incomplète ci-dessous), jusqu'à l'arrivée dans le village, est définitivement épique :


203. Un soir de Noël à Bedford Falls.
Dans La vie est belle, de Frank Capra (1946).



204. Une nuit dans la panic room.
Panic Room, de David Fincher (2002).
Une scène parmi d'autres : le découpage hallucinant des plans dans l'escalier, par le virtuose David Fincher :


205. La rencontre du flic John McClane et du sergent Al Powell.
Dans Die Hard (Piège de cristal), de John McTiernan (1986).



206. « Tu es mon soleil, tu es ma lune, mon ciel étoilé. Loin de toi, je suis prisonnier des ténèbres. Ton pouvoir m’a ensorcelé, il me laisse sans défense. Allez, viens, je t’emmène ! Ce soir, laisse-moi te vénérer comme une déesse, viens dans mes bras ! »
La poudre des coeurs brisés dans Willow, de Ron Howard (1987).





207. La mixtape de Star-Lord dans Les Gardiens de la Galaxie.



208. La course contre la montre de Jude Law, les jambes paralysées, dans l’escalier.
Dans Gattaca, de Andrew Niccol (1997).



209. Les documentaires des Monty Python sur les Chevaliers de la Table Ronde et Jésus Christ.



La scène du pont : "Whatis your name ? What is your quest ?"




La leçon de latin :



210. Les leçons de cambriolages par Sergio Leone, Steven Soderbergh, Jean-Pierre Melville et Patrice Leconte.






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