dimanche 11 décembre 2016

250 RAISONS D'AIMER LE CINÉMA (101-110)

101. Faire des listes.

102. Le cri de Tarzan.



103. Klaatu Barada Nikto.
La formule à prononcer avant de s'emparer du Necronomicon. Dommage que Ash ne s'en souvienne pas dans Evil Dead III :



104. Le passage à tabac du shérif Brando dans La poursuite impitoyable.
La poursuite impitoyable, d'Athur Penn (1964)
C'est très réaliste : à trois contre un, même Brando se prend une raclée. Pour des leçons de cassage de gueule façon actor's studio, regardez-le tomber du bureau à 3:21 :



105. L’évasion du Chef Bromden.
Dans Vol au-dessus d'un nid de coucou, de Milos Forman (1976)




106. 523 minutes de Parrain et pas une de trop.



107. Tout est possible, même un Godard qu’on aime bien.
Bardot désirable comme jamais, Piccoli parfait comme toujours, la musique sublime de Georges Delerue, et ce dialogue anodin et affolant :



108. Écouter les bandes originales et revoir les images dans sa tête.

109. Refuser les éditions spéciales et montrer à ses enfants les vrais films Star Wars.

110. Richard Darbois.
Le doubleur star, de Roger Murtaugh dans L'arme fatale à Shan-Yu dans Mulan, de Biff Tannen dans Retour vers le futur à Indiana Jones dans La dernière croisade, de Edward Lewis dans Pretty Woman à Madmartigan dans Willow, de Dutch Shaeffer dans Predator au génie dans Aladdin, de Sam Wheat dans Ghost à Ray Spengler dans Ghostbusters, de Buzz L'Eclair dans Toy Story à Phil Connors dans Un jour sans fin.





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