lundi 19 décembre 2016

250 RAISONS D'AIMER LE CINÉMA (181-190)

181. Le portrait de Laura.
Dans Laura, de Otto Preminger (1944).


182. Sam Lion.
Dans Itinéraire d'un enfant gâté, de Claude Lelouch (1988).
Belmondo, coup de vieux en bandoulière, n'a jamais été aussi bouleversant qu'ici, les tacs-tacs-badaboum ayant laissé la place à la sourde tristesse d'une vie trop vaine, comme un rendez-vous manqué avec soi-même. Avec encore, pourtant, l'envie d'un dernier tour de piste pour un vieux lion fatigué.



183. Le café bouillant jeté par Lee Marvin au visage de Gloria Grahame dans Règlements de comptes.



184. Le pamplemousse écrasé par James Cagney sur le visage de Mae Clark dans L’ennemi public.


185. Le kitsch, maximum et génial, de Kalidor, la légende du talisman.
Les bras et les jambes interminables de Brigit Nielsen, la musique d'Ennio Morricone, les épées géantes, une confrérie de prêtresses M.L.F., les peaux de bêtes, un prince-enfant Ninja, un monstre mécanique, une reine défigurée lesbienne, des décors en carton pâte, les producteurs ont tout osé, tout raté, et c'est gé-nial !


186. Dos aux mitraillettes des Allemands, Lino Ventura va-t-il se mettre à courir ou pas ?
Dans L'armée des ombres, de Jean-Pierre Melville (1969).




187. Les bandes-annonces des films de Michael Bay.
Ses films sont généralement bruyamment moyens, mais les bandes-annonces sont parfaites (et suffisent, le plus souvent).


188. Hot Stuff dans la file d’attente.
Dans The Full Monty, de Peter Cattaneo (1997)


189. « What's He doing? He can take John Lennon. He can take those three young lads down at Ainsley Pit. He's even thinking of taking my old man. And Margaret bloody Thatcher lives! »
Dans Les virtuoses, de Mark Herman (1996)


190. Le discours à la fin du Dictateur.



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