samedi 17 décembre 2016

250 RAISONS D'AIMER LE CINÉMA (161-170)

161. Garder ses cassettes vidéo alors qu’on n’a plus de magnétoscope.

162. « As far back as I can remember, I always wanted to be a gangster. »
Dans Les affranchis, de Martin Scorsese (1990) :


163. Les combats de Yuen Woo-ping.

Tigre et dragon, de Ang Lee


Matrix, de Andy & Larry Wachowski


Kill Bill Vol. 1, de Quentin Tarantino

164. Vladimir Cosma.
Ecoutez les premières secondes, et vous vous apercevrez que vous avez vécu toute votre vie avec ces musiques dans le cœur :









165. Voir John Travolta danser.

La fièvre du samedi soir, de John Badham (1977)


Pulp Fiction, de Quentin Tarantino (1994)

166. Le strip-tease en russe de John Cleese.
Un poisson nommé Wanda, de Charles Chrichton (1988)



167. Leeloo Dallas Multipass.
Le cinquième élément, de Luc Besson.



168. Sean Connery qui marche vers la mort en chantant.
Dans L'homme qui voulut être roi, de John Huston (1975) :



169. Roberto Benigni qui marche vers la mort en faisant le clown.
Dans La vie est belle, de Roberto Benigni.




170. La classe américaine (avec plus d’une barre de fringues sur toi).
Le grand détournement, un montage de scènes de films des années 50/60/70 avec John Wayne, Burt Lancaster, Paul Newman, Robert Redford, James Stewart... et des nouveaux dialogues absurdes et réjouissants, dits par les vrais doubleurs de l'époque, conférant un caractère d'authenticité hilarant à cette inénarrable et Nuls-esque entreprise :



Et en entier ici : 



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