dimanche 18 décembre 2016

250 RAISONS D'AIMER LE CINÉMA (171-180)

171. Le Terminator, c’est un cyborg ou c’est pas un cyborg ?
Définition du cyborg (Wikipédia) : Un cyborg (de l'anglais « cybernetic organism », traduisible par « organisme cybernétique ») est un être humain — ou à la rigueur un autre être vivant intelligent, en science-fiction — qui a reçu des greffes de parties mécaniques.

Mais Kyle Reese décrit à Sarah Connor le Terminator comme un cyborg.

Peut-on alors accepter comme le suggère Wikipédia :
"Le mot « cyborg » est devenu une expression courante. Cependant, son sens a largement dévié depuis. Dans le film Terminator, il est employé pour désigner un robot, non seulement à l'apparence humaine, mais dont l'enveloppe extérieure est faite de tissus organiques de synthèse (à l'origine faite pour soigner les blessures humaines). Depuis, il est devenu courant d'utiliser « cyborg » comme synonyme de « robot androïde »."

Qui a dit "on s'en fout" ?

Ah, ben, ça doit être moi ;) 
En effet, toutes les questions existentielles qui peuvent se poser à propos de Terminator (ex : pourquoi Skynet n'envoie-t-il pas un deuxième Terminator aider le premier ?) n'ont pas d'autre intérêt que de nous éloigner de l'essentiel : la force brute du combat entre l'homme et la machine.


Terminator, de James Cameron (1984)

172. En VF, Porco Rosso a la voix de Jean Réno.
Dans Porco Rosso, de Hayao Miyazaki :


173. La main de Maximus Leo.
Le plus grand beau vieux film fantastique français : La main du diable, de Maurice Tourneur (1943)


174. Bon Jovi, Def Leppard, Poison, Foreigner, Journey, Guns n’ Roses sur la même bande originale.
Dans Rock of Ages, de Adam Shankman (2012)


175. Marilyn Monroe sur un radeau, et Robert Mitchum à la barre.
Rivière sans retour, d'Otto Preminger (1954)
Loin des rôles-clichés de femme-enfant naïve et attendrissante qui ont fait sa légende, Marilyn Monroe trouve dans Rivière sans retour un vrai personnage de femme qui vit, qui souffre et qui s'obstine à ne pas céder à la peur de la Nature et des hommes.



176. Il était une fois une vie volée en Amérique.
Il était une fois en Amérique, de Sergio Leone (1984).
Il aura fallu vingt ans à Sergio Leone pour achever le film dont il rêvait, mais c'est, encore aujourd'hui, une fresque définitive sur les ambitions brisées, les opportunités trompeuses, l'innocence meurtrie et l'amour sali. 


177. Gene Hackman ou James Caan ?
Héros sur le fil ou vieux loup de mort, Hackman et Caan n'ont jamais pu s'empêcher de mettre dans leur personnage une violence sourde, une menace latente, qui rend chaque fois leurs interprétations un peu plus glaçantes que prévu.

Les pleins pouvoirs, de Clint Eastwood

The Yards, de James Gray

Le parrain, de Francis Ford Coppola

French Connection, de William Friedkin

178. Mrs Robinson.
Dans Le lauréat, de Mike Nichols (1968)



179. « Dillon ! Sale petit enfant de putain ! », et le biceps de Schwarzy prêt à exploser.
Dans Predator, de John McTiernan :




180. Scarlett & Rhett.
Dans Autant en emporte le vent, de Victor Fleming (1939).



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