Alors il faudrait peut-être laisser s'estomper l'exaltation de la première fois (mais j'en doute, la deuxième et la troisième m'ayant pareillement fait éclater les oreilles et le coeur), mais à première écoute, c'est bien lui : The Wicked Symphony est l'album de ma vie. Celui à emporter sur une île déserte, Fabrice.
J'ai cherché cette perfection sur les disques de Savatage (Streets, pour les paroles de Paul O'Neill, la Charvel de Criss Oliva, le piano et la voix de Jon Oliva, puis sur Handful Of Rain, pour les chants en canon de Zak Stevens et la guitare tronçonneuse d'Alex Skolnik), cru un moment la débusquer sur les rock operas de Trans Siberian Orchestra (pour les multiples vocalistes), failli mettre un terme à ma quête avec Helloween (The Dark Ride pour le speed metal mélodique sombre et inspiré) et/ou Gamma Ray (Land Of The Free pour le concept-album et les pistes qui s'enchaînent sans pause), été convaincu de l'avoir enfin trouvée sur The Scarecrow.
Jusqu'à ce Wicked Symphony.
L'album de ma vie.
Sur un prochain post : la liste des albums qui ne seront pas emportés sur l'île déserte, à cause de lui.
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