En revoyant Predator, je me suis dit deux choses : un, j'ai dû le voir une bonne centaine de fois pour me rappeler aussi précisément, quinze ans après, les mots (peu nombreux et très grossiers : "Bordel de merde, pute de pute de pute de pute, j'ai déjà vu de la merde question brousse pourrie, mais pire que celle-la, faut chercher"), les carnages (peu nombreux et très bruyants : un bon hectare de forêt déboisée à l'aveuglette par la troupe de soldats musculeux qui commence à paniquer), deux, je suis toujours aussi abasourdi par ce huis-clos sauvage dans une jungle hostile, que fasciné par le charisme d'Arnold Schwarzenegger, sa mâchoire, ses biceps, son cigare.
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