Chef d'oeuvre.
Oui : chef d'oeuvre.
Et j'ai pris le temps avant de l'écrire.
Acheté en pré-commande sur Amazon. Ecouté deux fois par jour (au moins) depuis lors.
Autant dire que le mot n'est pas ici employé à la légère.
Avec ce nouvel album, Tobias Sammet parvient encore une fois à surpasser le précédent que l'on croyait intouchable, et ce, pour plusieurs raisons :
- Aussi cohérent, épique et ambitieux, et peut-être plus lumineux, que le tourmenté "The Wicked Symphony", "The Mystery Of Time" touche encore en plein coeur, en alternant metal mélodique direct ("The Watchmaker's Dream", "Dweller In A Dream", "Invoke The Machine"), morceaux de bravoures ("Black Orchid", "Savior In The Clockwork"), et ballades musclées ("Sleepwalking", "What's Left Of Me")
- Ca joue plus vite : trois titres rapides, et un fulgurant "Where Clock Hands Freeze" ensorcelé par l'ange déchu Michael Kiske, qui illumine aussi presque tout "Dweller In A Dream" ! Double Kiske sur cet album, du jamais vu depuis les "Metal Opera" !
- Tobias Sammet a encore des idées neuves d'écriture (le pre-chorus au piano de "Invoke The Machine")
Un dernier mot sur les guests : tous nouveaux venus (à l'exception de l'indispensable Kiske), ils font souffler, si besoin était, un vent nouveau sur Avantasia, en particulier le rugueux Ronnie Atkins, tout de rage et de puissance sur "Invoke The Machine"
Seul faiblesse de l'album, le morceau de conclusion "The Great Mystery", un peu long à prendre son envol (et c'est dommage car la fin, plus instrumentale et pleine d'éclat, est très réussie).
Et j'ai pris le temps avant de l'écrire.
Acheté en pré-commande sur Amazon. Ecouté deux fois par jour (au moins) depuis lors.
Autant dire que le mot n'est pas ici employé à la légère.
Avec ce nouvel album, Tobias Sammet parvient encore une fois à surpasser le précédent que l'on croyait intouchable, et ce, pour plusieurs raisons :
- Aussi cohérent, épique et ambitieux, et peut-être plus lumineux, que le tourmenté "The Wicked Symphony", "The Mystery Of Time" touche encore en plein coeur, en alternant metal mélodique direct ("The Watchmaker's Dream", "Dweller In A Dream", "Invoke The Machine"), morceaux de bravoures ("Black Orchid", "Savior In The Clockwork"), et ballades musclées ("Sleepwalking", "What's Left Of Me")
- Ca joue plus vite : trois titres rapides, et un fulgurant "Where Clock Hands Freeze" ensorcelé par l'ange déchu Michael Kiske, qui illumine aussi presque tout "Dweller In A Dream" ! Double Kiske sur cet album, du jamais vu depuis les "Metal Opera" !
- Tobias Sammet a encore des idées neuves d'écriture (le pre-chorus au piano de "Invoke The Machine")
Un dernier mot sur les guests : tous nouveaux venus (à l'exception de l'indispensable Kiske), ils font souffler, si besoin était, un vent nouveau sur Avantasia, en particulier le rugueux Ronnie Atkins, tout de rage et de puissance sur "Invoke The Machine"
Seul faiblesse de l'album, le morceau de conclusion "The Great Mystery", un peu long à prendre son envol (et c'est dommage car la fin, plus instrumentale et pleine d'éclat, est très réussie).