Pour la bande originale de mon trajet en voiture au festival d'Angoulême 2011 (six heures de route, quand même), j'avais choisi tous mes albums de GottHard (sauf LipService que j'avais laissé dans l'autoradio de notre autre voiture, crétin que je suis) : G, Open, HomeRun, Human Zoo, D-Frosted et ce Domino Effect. Je les ai alors fait défiler un peu au hasard dans l'auto-radio, avec un plaisir toujours égal. Coup de chance pour les autres disques : je n'ai pas commencé par Domino Effect. Sinon, aucun n'aurait pu lui succéder, et c'est finalement trois heures de Domino Effect en boucle qui ont accompagné mon voyage.
Même si la seconde partie de l'album se fait plus mériter que la première, Domino Effect est parfait, sans fausse note, rock pur et dur, ballades frémissantes, et le charme et la voix de Steve Lee, encore et (pour) toujours.
En bonus, un fond d'écran (2300 x 1700) Donjon Potron-Minet/Meat Loaf :