
Si c'est vrai de la plupart des albums d'Edguy, ça l'est un peu moins de ce Rocket Ride.
A l'exception de la conclusion plus ouvertement rigolarde du disque ("Trinidad"/"Hair Force One"), le disque est empreint d'une gravité inhabituelle et, osons-le dire, bienvenue dans l'univers un peu simpliste d'Edguy. Il suffit d'écouter l’ouverture mélancolique du magnifique "Sacrifice" pour en prendre toute la mesure.
Rocket Ride : l'album pour fans d'Avantasia qui voudraient aimer mais qui n'aiment pas Edguy.
Bonus : un fond d'écran Edguy/Dollhouse :

Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire