dimanche 25 décembre 2016

250 RAISONS D'AIMER LE CINÉMA (241-250)

241. "Hotel California" au bowling.



242. Eli Wallach dans The Holiday.


243. La malette maléfique de Pulp Fiction et de En quatrième vitesse.
Qu'y a-t-il dans ces drôles de malettes, qui brillent de mille feux quand on les ouvre, sans qu'on en voit jamais le contenu ?
Dans Pulp Fiction, de Quentin Tarantino (1994) :

L'âme de Marcellus Wallace ?

Dans En quatrième vitesse, de Robert Aldrich (1955) :

Le secret de l'énergie nucléaire ?

244. Ava Gardner ou Grace Kelly ?



245. Paden, Emmett, Jake et Mal.
Silverado, de Lawrence Kasdan (1985).



246. Merveilleuses emmerdeuses : Françoise Dorléac dans L’homme de Rio et Catherine Deneuve dans Le sauvage.




247. Les mêmes, demoiselles de Rochefort.



248. « Stellaaaaaaaaaa ! »
Dans Un tramway nommé Désir, de Elia Kazan.
La sensualité bestiale de Brando, qui appelle sa femme qu'il vient de maltraiter. Et elle, comme apprivoisée, envoûtée, revient vers lui.



249. « AdriaaaAAAAn !
Peut-être le plus beau moment de cinéma du monde. Rocky, battu aux points, animal blessé mais pas vaincu, appelle sa femme sans savoir si elle l'entend, et c'est toute sa vie qui tient dans ce cri :



250. C’est Noël quand on veut.










samedi 24 décembre 2016

250 RAISONS D'AIMER LE CINÉMA (231-240)

231. Les accents de Brad Pitt.
L'accent italien (Inglorious Basterds, de Quentin Tarantino) :



L'accent gitan (Snatch, de Guy Ritchie) :


232. Le rire de Julia Roberts (ou de Céline Montserrat, en VF, aussi fabuleux) devant la télé, dans une chambre d’hôtel, avant le sexe avec Richard Gere.
Dans Pretty Woman, de Garry Marshall.



Et aussi, devant l'écrin du collier, que Richard Gere renferme par surprise et par improvisation :






233. Mi. Fa. Mi. Fa. Mi-Fa-Mi-Fa-Mi-Fa-Mi-Fa-MiFaMiFaMiFa. Gnap.
Le thème des Dents de la mer, par John Williams.


234. L’ombre de sourire sur le visage de John Rambo quand il arrive chez son dernier ami vivant, seul instant du film où il n’est ni un fantôme désespéré ni une machine à tuer incontrôlable.


235. Kronk dans Kuzco.
Avec la voix de Emmanuel "Zach Morris/Jim Carrey" Curtil :


236. Forest Whitaker en samouraï du New Jersey.
Dans Ghost Dog, de Jim Jarmusch (1999).



237. Repérer les héros qui utilisent des PC, et pas des Mac.

238. Chanter la Marseillaise devant les Allemands dans un bar de Casablanca.
Dans Casablanca, de Michael Curtiz.



239. Alfredo a gardé et monté pour Toto toutes les scènes de baisers.
Dans Cinema Paradiso, de Guiseppe Tornatore (1988).


240. Le livre dont est tiré Ben-Hur a été écrit en 1880 par Lew Wallace. À ce moment-là, il est gouverneur du Nouveau-Mexique et il négocie la reddition et l’amnistie de Billy The Kid, qui sera abattu par Pat Garrett en 1881.
Authentique !

vendredi 23 décembre 2016

250 RAISONS D'AIMER LE CINÉMA (221-230)

221. Rester jusqu’à la fin du générique (même si ça fait chier les ouvreuses).

222. Directed by Brad Bird.
Et, sans déconner, ils y sont tous :




  

223. Le film avec le droïde Panomanix.
Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre, d'Alain Chabat (2002).


224. Matt et Ben.
Damon et Affleck.

Will Hunting, de Gus Van Sant.


Dogma, de Kevin Smith


Aux Oscars, pour le meilleur scénario original.

225. Robert et Paul.
Redford et Newman.

Butch Cassidy et le Kid, de George Roy Hill


L'arnaque, de George Roy Hill.

226. Montrer à sa femme les films qu’on lui a racontés.

227. Les aimer encore plus après les lui avoir montrés.

228. Les trois Seigneurs des Anneaux la même semaine, un demi-film tous les soirs.

229. « Il moi rifugio » dans la voiture avec Rivetot et Mortez sur les routes de France.
Tandem, de Patrice Leconte.



230. « Tiny Dancer » dans le car avec Stillwater sur la tournée ’73.
Presque célèbre, de Cameron Crowe.


jeudi 22 décembre 2016

250 RAISONS D'AIMER LE CINÉMA (211-220)

211. Gagner à tous les coups à Timeline édition cinéma.




212. La leçon de flingage de Josey Wales.
Dans Josey Wales, hors-la-loi, de Clint Eastwood (1975).
Un duel classique, un contre quatre, mais le meilleur vient juste après, quand Josey explique comment il choisit l'ordre des types à flinguer, selon leur langage corporel :


213. Tom Cruise as Les Grossman.
Le personnage est tellement ahurissant qu'il a droit à d'autres apparitions que celle (mémorable) de Tonnerre sous les tropiques, de Ben Stiller. Ici, pour les 2010 MTV Movie Awards, un vrai-faux dialogue entre le producteur Les Grossman et Robert Pattinson, qui hésite à changer de style (se raser, se laver les cheveux) :


214. A la fin du Grand silence, l’infâme Tigrero tue le héros, la nana du héros et s’en va avec l’argent.
Le grand silence, de Sergio Corbucci (1968).


215. En VF, quand la princesse Leïa dit « Je t’aime » à Han dans la salle de congélation carbonique, c’est la seule fois des trois films où elle le tutoie.
Dans L'Empire contre attaque, de Irvin Kershner (1980).



216. Jackie Chan ou Bruce Lee ?
Le coup de latte athlétique et élastique, ou le coup de latte félin et sec ?




217. Les films d’Yvan Attal sont des déclarations d’amour à Charlotte Gainsbourg.




218. François, Françoise et Vic Beretton (et Poupette).





219. « Carmina Burana » dans Excalibur et Conan le Barbare.





220. George Clooney ou Mel Gibson ?
Deux personnifications de la décontraction virile (et Bruce Willis n'est pas mal non plus) :



mercredi 21 décembre 2016

250 RAISONS D'AIMER LE CINÉMA (201-210)

201. La poursuite à la fin de Carlito’s Way.





Et un dossier AlloCiné, très complet (et très énervant à afficher, pubs dans tous les coins oblige, comme d'habitude sur ce site de merde), sur le plan-séquence, avec beaucoup d'extraits et d'analyses : ICI

202. La scène d’ouverture de Indiana Jones et le temple maudit.
Et tout le reste de tous les Indiana Jones, bien sûr ! Mais cette séquence (incomplète ci-dessous), jusqu'à l'arrivée dans le village, est définitivement épique :


203. Un soir de Noël à Bedford Falls.
Dans La vie est belle, de Frank Capra (1946).



204. Une nuit dans la panic room.
Panic Room, de David Fincher (2002).
Une scène parmi d'autres : le découpage hallucinant des plans dans l'escalier, par le virtuose David Fincher :


205. La rencontre du flic John McClane et du sergent Al Powell.
Dans Die Hard (Piège de cristal), de John McTiernan (1986).



206. « Tu es mon soleil, tu es ma lune, mon ciel étoilé. Loin de toi, je suis prisonnier des ténèbres. Ton pouvoir m’a ensorcelé, il me laisse sans défense. Allez, viens, je t’emmène ! Ce soir, laisse-moi te vénérer comme une déesse, viens dans mes bras ! »
La poudre des coeurs brisés dans Willow, de Ron Howard (1987).





207. La mixtape de Star-Lord dans Les Gardiens de la Galaxie.



208. La course contre la montre de Jude Law, les jambes paralysées, dans l’escalier.
Dans Gattaca, de Andrew Niccol (1997).



209. Les documentaires des Monty Python sur les Chevaliers de la Table Ronde et Jésus Christ.



La scène du pont : "Whatis your name ? What is your quest ?"




La leçon de latin :



210. Les leçons de cambriolages par Sergio Leone, Steven Soderbergh, Jean-Pierre Melville et Patrice Leconte.






mardi 20 décembre 2016

250 RAISONS D'AIMER LE CINÉMA (191-200)

191. La dernière séance et le cinéma de minuit.
Mes meilleurs souvenirs de cinéma à la télévision.




192. « Birdie num-num ».
Dans La party, de Blake Edwards (1970).


193. Dirty Dancing par Romain Duris et Vanessa Paradis.
Dans L'arnacoeur, de Pascal Chaumeil (2010).


194. Des cow-boys et des aliens.
Cowboys & Aliens, de Jon Favreau (2011).


195. Des Jaegers et des Kaïjus.
Pacific Rim, de Guillermo Del Toro (2013).


196. La toupie s’arrêtera-t-elle de tourner ou pas ?
Dans Inception, de Christopher Nolan (2010).



197. Marty en skateboard et Biff en Ford ’46 dans les rues de Hill Valley.
Dans Retour vers le futur, de Robert Zemeckis (1985).


198. Gary Oldman en Dracula.
Dracula, de Francis Ford Coppola (1992).


199. Joe Pesci ou James Cagney ?
Les deux petits durs du cinéma américain :




200. « Salut, Marvin, rendez-vous à Los Angeles ! »
Midnight Run, de Martin Brest (1987).
Le meilleur rôle de comédie de Robert De Niro :


lundi 19 décembre 2016

250 RAISONS D'AIMER LE CINÉMA (181-190)

181. Le portrait de Laura.
Dans Laura, de Otto Preminger (1944).


182. Sam Lion.
Dans Itinéraire d'un enfant gâté, de Claude Lelouch (1988).
Belmondo, coup de vieux en bandoulière, n'a jamais été aussi bouleversant qu'ici, les tacs-tacs-badaboum ayant laissé la place à la sourde tristesse d'une vie trop vaine, comme un rendez-vous manqué avec soi-même. Avec encore, pourtant, l'envie d'un dernier tour de piste pour un vieux lion fatigué.



183. Le café bouillant jeté par Lee Marvin au visage de Gloria Grahame dans Règlements de comptes.



184. Le pamplemousse écrasé par James Cagney sur le visage de Mae Clark dans L’ennemi public.


185. Le kitsch, maximum et génial, de Kalidor, la légende du talisman.
Les bras et les jambes interminables de Brigit Nielsen, la musique d'Ennio Morricone, les épées géantes, une confrérie de prêtresses M.L.F., les peaux de bêtes, un prince-enfant Ninja, un monstre mécanique, une reine défigurée lesbienne, des décors en carton pâte, les producteurs ont tout osé, tout raté, et c'est gé-nial !


186. Dos aux mitraillettes des Allemands, Lino Ventura va-t-il se mettre à courir ou pas ?
Dans L'armée des ombres, de Jean-Pierre Melville (1969).




187. Les bandes-annonces des films de Michael Bay.
Ses films sont généralement bruyamment moyens, mais les bandes-annonces sont parfaites (et suffisent, le plus souvent).


188. Hot Stuff dans la file d’attente.
Dans The Full Monty, de Peter Cattaneo (1997)


189. « What's He doing? He can take John Lennon. He can take those three young lads down at Ainsley Pit. He's even thinking of taking my old man. And Margaret bloody Thatcher lives! »
Dans Les virtuoses, de Mark Herman (1996)


190. Le discours à la fin du Dictateur.



dimanche 18 décembre 2016

250 RAISONS D'AIMER LE CINÉMA (171-180)

171. Le Terminator, c’est un cyborg ou c’est pas un cyborg ?
Définition du cyborg (Wikipédia) : Un cyborg (de l'anglais « cybernetic organism », traduisible par « organisme cybernétique ») est un être humain — ou à la rigueur un autre être vivant intelligent, en science-fiction — qui a reçu des greffes de parties mécaniques.

Mais Kyle Reese décrit à Sarah Connor le Terminator comme un cyborg.

Peut-on alors accepter comme le suggère Wikipédia :
"Le mot « cyborg » est devenu une expression courante. Cependant, son sens a largement dévié depuis. Dans le film Terminator, il est employé pour désigner un robot, non seulement à l'apparence humaine, mais dont l'enveloppe extérieure est faite de tissus organiques de synthèse (à l'origine faite pour soigner les blessures humaines). Depuis, il est devenu courant d'utiliser « cyborg » comme synonyme de « robot androïde »."

Qui a dit "on s'en fout" ?

Ah, ben, ça doit être moi ;) 
En effet, toutes les questions existentielles qui peuvent se poser à propos de Terminator (ex : pourquoi Skynet n'envoie-t-il pas un deuxième Terminator aider le premier ?) n'ont pas d'autre intérêt que de nous éloigner de l'essentiel : la force brute du combat entre l'homme et la machine.


Terminator, de James Cameron (1984)

172. En VF, Porco Rosso a la voix de Jean Réno.
Dans Porco Rosso, de Hayao Miyazaki :


173. La main de Maximus Leo.
Le plus grand beau vieux film fantastique français : La main du diable, de Maurice Tourneur (1943)


174. Bon Jovi, Def Leppard, Poison, Foreigner, Journey, Guns n’ Roses sur la même bande originale.
Dans Rock of Ages, de Adam Shankman (2012)


175. Marilyn Monroe sur un radeau, et Robert Mitchum à la barre.
Rivière sans retour, d'Otto Preminger (1954)
Loin des rôles-clichés de femme-enfant naïve et attendrissante qui ont fait sa légende, Marilyn Monroe trouve dans Rivière sans retour un vrai personnage de femme qui vit, qui souffre et qui s'obstine à ne pas céder à la peur de la Nature et des hommes.



176. Il était une fois une vie volée en Amérique.
Il était une fois en Amérique, de Sergio Leone (1984).
Il aura fallu vingt ans à Sergio Leone pour achever le film dont il rêvait, mais c'est, encore aujourd'hui, une fresque définitive sur les ambitions brisées, les opportunités trompeuses, l'innocence meurtrie et l'amour sali. 


177. Gene Hackman ou James Caan ?
Héros sur le fil ou vieux loup de mort, Hackman et Caan n'ont jamais pu s'empêcher de mettre dans leur personnage une violence sourde, une menace latente, qui rend chaque fois leurs interprétations un peu plus glaçantes que prévu.

Les pleins pouvoirs, de Clint Eastwood

The Yards, de James Gray

Le parrain, de Francis Ford Coppola

French Connection, de William Friedkin

178. Mrs Robinson.
Dans Le lauréat, de Mike Nichols (1968)



179. « Dillon ! Sale petit enfant de putain ! », et le biceps de Schwarzy prêt à exploser.
Dans Predator, de John McTiernan :




180. Scarlett & Rhett.
Dans Autant en emporte le vent, de Victor Fleming (1939).