mercredi 21 octobre 2015

LES SALOPARDS EN AFFICHE

En attendant janvier 2016 et les "huit salopards" de Quentin Tarantino, un petit retour sur quelques autres salopards, avec ou sans numéro, très bien notés en kitscherie (à noter que le titre original du Tarantino, "The Hateful Eight" fait davantage réference aux sept mercenaires ("The Magnificent Seven") qu'aux salopards ; mais les salopards ont eu leur heure de gloire dans le western italien, donc quand même un joli coup de la part des adaptateurs français)









lundi 12 octobre 2015

L'ART DE DREW STRUZAN (7) : Star Wars Episode 7

On n'osait l'espérer, mais c'est fait : officiel, certifié, tamponné. Même si elle a été seulement réalisée en édition limitée pour le D23 2015, une affiche de Star Wars Episode 7 : The Force Awakens est bien signée Drew Struzan, sorti de sa retraite pour l'occasion.


Il pourrait en peindre une autre pour la promotion officielle de la sortie, mais à ce jour, les sources divergent sur ce point. Wait and see...


samedi 3 octobre 2015

L'ALBUM DE LA SEMAINE (25) : "The Book of Souls" - IRON MAIDEN

On pouvait craindre un autre Final Frontier, le précédent album des vétérans d'Iron Maiden, qui ressemblait bien plus à un album solo de Bruce Dickinson qu'à un véritable opus de la Vierge de Fer : des morceaux bruts et parfois mal dégrossis, peu de mélodies entêtantes ou de guitares doublées à la tierce supérieure, une production plus authentique et moins sophistiquée, comme une tentative ratée de se renouveler, après trente-cinq ans de musique sans surprise et sans défaut.
L'escapade solo du démiurge Steve Harris en 2012 l'avait laissé entrevoir : Iron Maiden ne lui appartenait plus comme autrefois.
Et le livret de ce Book of Souls, avec deux titres écrits par le seul Dickinson, et deux titres rentre-dedans (dont le premier single, qui ne m'avait pas bouleversé) signés par la paire Dickinson/Smith, semblait le confirmer.
Eh bien, pas du tout !
The Book Of Souls est un album magique, peut-être le plus ambitieux des seize opus studios des Anglais, avec ses 92 minutes au compteur, sans surprises et sans défaut. Sans surprise ? Pas tout à fait : inattendu et jamais entendu, le piano envoûtant de l'introduction du somptueux "Empire of the Clouds" (18 minutes écrites par le seul Bruce Dickinson, finalement particulièrement inspiré).